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(Extraits de notre Dico, section 4 de 15 : Politique.)
Tout s’expliquer par seulement deux devises américaines; il s’agit de se rappeler, que l’on peut répondre à bien des questions fondamentales, parfois de la part de débutants désemparés, que la devise Américaine, soit «The persuit of happiness» adaptée en langue française, signifie «À la recherche du bonheur», ainsi l’on peut s’exclamer que l’on pourra se demander perpétuellement, où trouver de quoi se satisfaire définitivement. Tout comme à-même l’expression «To journey the world, looking for the devine», une jolie parole-en-l’air très populaire en chanson de nos voisins du Sud, chez qui rapporte de voyage, avoir connu des expériences extraordinaires. Ce qui expliquerait généralement beaucoup de demandes pour de l’émerveillement de par du tourisme d’ailleurs. Tandis qu’ici au Canada, nous aurions davantage rêvé longtemps à joindre les deux bouts du continent, en déterminant la devise «D’un océan à l’autre», à la fois pour le chemin de fer (construit parfois en surexploitation d’esclaves orientaux), ainsi que pour le télégraphe permettant de communiquer l’état de l’industrie portuaire aux deux extrémités, et déterminer aux décideurs si leurs futurs cargos auraient intérêt à emprunter l’océan Pacifique ou Atlantique, advenant un naufrage important, donc concernant l’économie d’échanges de ressources limitées (ce qui explique la raison d’être des guerres, entre autres raisons de pouvoir et propre croissance économique). Cette devise canadienne ne répond pas à tout, mais il s’y empile aussi la devise que «Tout va vers l’Ouest» tel qu’en anthropologie et la Route des épices, influencée par le Soleil couchant en cette direction dont se fiait le préhumain pour s’orienter, tels les navigateurs équipés de sextant (ce qui signifie 3 dimensions fois 2 demie-droite, telle qu’en la croix isométrique 3D), permettant une précise mesure de géolocalisation, en observant la nature astronomique.
Gaïa selon Feu Seigneur Messire Sire le Prêtre jésuite Pierre Teilhard de Chardin 1881-1955 (Discours de la présidence franglaise pour actuellement, basée sur...); (nom qui se prononce Chardine), il s'agit du discours teinté de la philosophie de ce prêtre assez connu, très adopté de par les scientifiques américains de la fin des années quarante, discours à-même fréquemment employé de par un président d'une nation qui vaille, qui va en demandant à la foule: «Que se produit-il dans le monde aujourd'hui?» ou encore en langue anglaise: «What is it, that it is going on in the world today?». Et sa populace qui répond: «Le monde produit les gens dans le monde aujourd'hui!» et ensuite: «Et que produisent les gens dans le monde aujourd'hui?» Et tout en répondant en retour à nouveau: «Les gens produisent le monde aujourd'hui!» En langue seconde: «The people are making happen the world today!», «And what is it, that it is going on with the people today?», «The world is making happen the people today!» en enflammant la foule elle-même d'une vision d'un monde où l'être humain est inséparable de son environnement qu'est la planète Terre dénommée «Gaïa», car l'homme se voit influencé de par son environnement immédiat, quel qu'il soit. Fait-à-remarquer, il est très possible que cette évocation de Gaïa ici même ait produit l'objet, durant la fin des années quarante, des Conférences Macy's, Marque de haut prestige civil ainsi que militaire. En effet, afin de plaire à l'œcuménisme Québécois d'antan, ou encore d'évocation de pouvoir politique, de religions, ou encore de différents noms d'autorités supérieures à énumérer en une panoplie d'exemples, afin de se démontrer articulé, tout comme les faux-fuyants qui vaillent en prononçant «C’est la force des choses», «C’est en anthropologie qu’il y a la déité de la Lune», «C’est la conjoncture économique», «C’est la religion qui croit en Dieu», «C’est l’autorité supérieure galactique», «Au gré des circonstances», «Au hasard de la vie», «Contre vents et marrés», «Advienne que pourra», etc.
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